"1. Réduction considérable entre le mot latin eet le mot francais (début de processus – 7ème sc)

a) chute des voyelles finales (mare-mer, muro-mur)
b) maintien des voyelles initiales et accentuées, les autres syllabes ont la tendance a tomber (clar-i-tate – clarté, dor-mi-tori-u – dortoir)¨
c) maintien des préfixes, même soudés au mot
=résultat-le mot latin est toujours plus long que le mot francais, ne sont le plus souvent restés du latin que les syllabes initiales, les syllabes accentuées et les préfixes, l´accent tombait en latin sur la syllabe, qui est devenue la dernière du mot francais

2. Tous les « U » latin sont passés à « Y » (début du processus – 8ème sc)
la trace en reste dans l´ortographe où le son « y » s´écrit « u »

3. Diphtongaison des voyelles accentuées « libres »

« libre » signifie se trouvant en fin de syllabe non fermé par une consonne
exemple – « a » est libre dans « mari », non dans « mardi »
après un changement du système latin, une opposition entre voyelles brève et voyelles longues ayant été remplacé par une opposition entre voyelles ouvertes et voyelles fermées, les voyelles accentuées libres ont commencé à s´allonger, puis à se diphtonguer, qui a abouti à un chabgement de timbre en francais moderne

diphtongaison dite « romane », car elle touche aussi les autres langues romanes
ě  ie (ainsi pedem  pied)
ó  uo (qui évoluera encore pour donner „oe“ en francais moderne (exemple mola – meule)

diphtongaison dite “francaise “, car elle ne touché que le nord de la France sous influence germanique
a  ae (qui évoluera en „Ɛ,e“ en francais moderne. ainsi – cantare-chanter, mare – mer)
ē, ĭ  ei (qui évoluera en „ai“ ou „oi“ en francais moderne. ainsi – tela – toile, lipum – poil)
ŭ, ō  ou (qui a donné „œ“ en francais moderne. hora – heure, gula – geule)

4. Nasalisation des voyelles suivies d´une consonne nasale

le latin prononcait „an“, le francais „ã“ . Toutes les voylles suivies d´une voyelle nasale se sont d´abord nasalisées. Le moyen age prononcait „pomƏ“ pour pomme. Puis, ces voyelles nasales se sont dénasalisés devant „m“ et „n“ restant articulés „pom“. L´effet fermant de la nasale, puis ouvrant de la nsalisation a entrainé de nombreux changement de timbre de ces voyelles (findere-fendre)"